«Monsieur le président du Niger: Ne dites pas ça aux ivoiriens ! Ils vont se fâcher. Ici on ne sait que broyer, écraser», a-t-il écrit commentant ainsi une position du président nigérien, Issoufou Mahamadou sur l'exercice du pouvoir, le passage du témoin à plus jeune, notamment. «J’ai beau cherché, je ne trouve aucun argument qui justifierait que je me sente irremplaçable... Nous sommes 22 millions, pourquoi aurais-je l’arrogance de croire que nul ne peut me remplacer ? », s'est-il convaincu.
Guillaume Soro qui soutient avoir été contraint de céder le « tabouret » (la président de l'Assemblée nationale) a longtemps dénoncé cette manière de gérer la chose publique. La récente crise intervenue à l'Assemblée des parlementaires francophone (Apf) a été une occasion de de mettre à nu ces pratiques et s'en plaindre publiquement à cette institution. « Tout concourt à attester que les instances dirigeantes de l’Apf l’ont mise, comme instrument, à la disposition de ceux dont le projet est désormais de m’anéantir, me broyer aussi bien à l’intérieur qu’à l’extérieur de la Côte d’Ivoire », avait-il fait observer le 7 juillet 2019. Avant de se désolidariser de la tenue de la 45è réunion de l'Apf à Abidjan.
TGT avec Linfodrome
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