Au Ghana, le corps de la police est frappé par un deuil. Une jeune femme, policière de son état a été tuée par son petit ami. L’infortuné a pris la clé des champs laissant la policère dans une mare de sang. Avant de poudre ses jambes par le cou, il laisse une lettre avec un contenu dur.
Le corps sans vie de la policière a été retrouvée dans sa chambre le 02 août dernier à Damango, dans la région des savanes au Ghana. Agée environ de 20 ans, Sandra Asiedu, c’est son nom, aurait été assassinée par son petit ami, Louis Asante.
Le petit ami de Sandra, considéré comme suspect numéro un dans cette affaire aurait après son acte tenté de se suicider, mais sans succès, avant de prendre la poudre d’escampette.
Lettre
Les soupçons sur le jeune homme pourraient être fondés suite à la découverte d’une lettre du jeune homme près du cadavre de la policière.
Et le contenu peut guider les enquêteurs: « nous sommes aimés ensemble, nous allons mourir ensemble », pouvait-on lire.Mais comment deux en sont arrivés là jusqu’à ce que mort arrive? D’après les recoupements faits auprès du voisinage, »tout serait parti d’une crise de jalousie car le copain de Sandra soupçonnait cette dernière de le tromper avec un autre homme, un certain militaire »
Et le voisinage raconte que, « la veille du meurtre, il y aurait une chaude discussion entre les deux amoureux, comme a pu témoigné le propriétaire du bâtiment où vivait Sandra Asiedu ». Actuellement en fuite, une enquête est ouverte et des recherches sont lancées pour le retrouver. Et pour aller vite, la police ghanéenne a lancé une opération de recherche du meurtrier avec une prime pour quiconque donnerait des informations qui pourraient aider à son arrestation.