(Âmes sensibles s’abstenir). Le propriétaire du frigo, un joueur très populaire a été arrêté par la police du Ghana. Au domicile du joueur, les policiers ont fait une découverte macabre: des têtes humaines bien morcelées et rangées dans le frigo au frais. Ce, après une minutieuse enquête policière suite au meurtre d’un jeune garçon de 13 ans.
Dans les détails, le père du jeune garçon explique les circonstances du décès de son enfant. Selon le papa du jeune garçon tué, le footballeur a attiré son fils répondant au nom de Louis Agyemang Junior dans un parce de football à Sunyani Abesim dans sa chambre et l’a tué. Le jeune est âgé de 13 ans. En effet, on apprend que le jeune garçon est allé dans le parc en vue d’un entrainement. Curieusement, après l’entrainement, l’enfant n’est plus rentré auprès de ses parents. Va alors débuter les vaines recherches. Et c’est dans cette débandade des parents qu’un ami du jeune disparu du nom de Tweneboa a informé les parents qu’ils l’avaient vu en compagnie du commentateur sportif et footballeur «Fire Man». Voir la photo du joueur
D’après un habitant contaté, le pot au rose a été découvert lorsque, les parents avec l’appui d’autres garçons, ont pu pénétrer par effraction au domicile du joueur hermétiquement fermé. Heureusement, les fouilles ont permis aux parents de tomber le corps de leur fils, Louis Agyemang Junior dans un bain de sang sans tête.
Les cris de détresse attirent alors la population qui a jeté son dévolu sur le joueur. Il a été proprement tabassé avant d’être remis à la police de Sunyani Abesim.
Une perquisition menée par la police a permis la découverte des parties du corps d’êtres humains dans un sac. Dans son frigo, il avait trois têtes humaines dont celle de Louis Agyemang. Arrêté, la police d’Abesim l’a remis au commandement de la police régionale de Bono pour complément d’enquête.
Pour l’heure, le corps de Louis Agyemang Junior ont été déposés à la morgue Best Care de Mantukwa dans la municipalité de Sunyani West. La police n’a pas encore identifié les autres victimes.
Par KOUASSI à Accra
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