Le gouvernement ghanéen alerte sur le dangereux réseau nommé QNET. Face à la presse hier, le gouvernement à travers le vice-ministre de l’information, a déclaré que plusieurs victimes de QNET se sont retrouvées en otages en Côte d’Ivoire, au Togo, au Mali et dans d’autres pays dans des conditions déplorables.
Le public ghanéen est avertit et surtout la jeunesse ghanéenne et africaine à se méfier du dangereux réseau QNET, une entreprise qui prétend offrir des emplois aux jeunes dans des pays à travers l’Afrique. malheureusement, l’emploi promis est une illusion, un piège à con.
Selon la vice-information, Mme Fatimatu Abubakar, plusieurs victimes de QNET se sont retrouvées en otages en Côte d’Ivoire, au Togo, au Mali et dans d’autres pays dans des conditions déplorables.
« Les victimes sont attirées vers des emplois lucratifs inexistants, mais finissent par être piégées dans les opérations de cette société de marketing de réseau, QNET. À leur arrivée dans ces pays, les victimes sont dépouillées de leurs objets de valeur, prises en otage dans des conditions sordides et contraintes de s’engager dans les services QNET en signant un contrat sous la contrainte. La seule façon pour les victimes de gagner leur liberté est d’être obligées d’attirer d’autres personnes dans l’entreprise« , a détaillé la vice-ministre cité par plusieurs médias locaux
Mme Abubakar a révélé que, récemment, le gouvernement a dû secourir trois jeunes ghanéens d’un centre QNET au Mali après qu’un rapport ait été déposé auprès de la mission diplomatique ghanéenne à Bamako, peut-on lire sur le site du journal Daily Graphic.
Par KOUASSI à Accra
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