Un des vendeurs a avoué à la police que son rôle était de rechercher leur victime, généralement dans la brousse autour de la région de Mawuko et de tuer une personne aussi malheureuse. Après l’acte, il va contacter ensuite un autre du groupe qui s’appelle Sulaiman Aremu, qui a pour rôle, de découper le cadavre de la victime et en retire les pièces vitales pour les distribuer à leurs clients en attente. Eberlué, le commissaire de police, CP Lanre Bankole, a décrit l’incident comme le comble de l’inhumanité de l’homme envers l’homme. Avant d’ordonner que les suspects soient transférés à la section des homicides du Département des enquêtes criminelles et des renseignements de l’État, pour une enquête discrète avec le en vue de les poursuivre en justice dans les plus brefs délais.
Comment en est-on arrivé à démanteler ce groupe dangereux hors du commun? Lisez (Âmes sensibles, s’abstenir)
Le porte-parole du commandement, Abimbola Oyeyemi, a déclaré mercredi dans un communiqué que les suspects avaient été arrêtés dans différents quartiers d’Abeokuta au Nigéria à la suite d’un rapport déposé au quartier général de la division Bode Olude par un certain Abraham Okosun, qui a rapporté qu’il avait rendu visite à son frère un dimanche Okosun au village d’Agbara via Mawuko. Abeokuta, seulement pour découvrir que son frère a été brutalement assassiné par des inconnus et que ses restes ont été démembrés.
Les suspects sont Lekan Oladipupo, 38 ans du village de Sotan ; Sulaiman Aremu, 30 ans d’Imala Elega Abeokuta; Ifayemi Madru, 24 ans du village de Sotan ; Shittu Saheed, 38 ans du village d’Alarugbo; Samod Sulaiman, 35 ans du village de Sotan ; Akanji Moruf, 23 ans du village d’Alabata et Tajudeen Adekunle, 36 ans de Sapon Abeokuta.
Il a déclaré sur le rapport, l’officier de police divisionnaire, Division de Bode Olude, DSP Durojaye Rotimi, qui s’est rendu sur les lieux avec ses détectives de crack, a lancé une enquête basée sur le renseignement pour démêler ceux qui se cachent derrière l’acte ignoble.
Oyeyemi a déclaré qu’en réagissant à des informations crédibles, les détectives ont retrouvé et appréhendé Lekan Oladipupo, qui lors de l’interrogatoire a avoué être la personne qui a tiré et tué le défunt avec son pistolet danois.
«Ses aveux ont conduit à l’arrestation des six autres suspects. Lors de l’interrogatoire, chacun des suspects a raconté son rôle respectif dans le meurtre horrible du défunt et d’autres qui ont été tués dans des circonstances similaires».
Lekan Oladipupo a informé la police que son rôle était de rechercher leur victime, généralement dans la brousse autour de la région de Mawuko et de tuer une personne aussi malheureuse.
«Il contactera ensuite Sulaiman Aremu, qui découpera le cadavre de la victime et en retirera les pièces vitales pour les distribuer à leurs clients en attente.
«Les clients sont Ifayemi Badru qui a acheté le cœur, les mains et d’autres parties du corps ; Shittu Saheed a acheté la tête, Akanji Moruf a acheté le cœur d’une autre de leurs victimes tandis que Tajudeen Adekunle a acheté la tête ».
«Les suspects ont avoué avoir tué pas moins de quatre personnes dans des circonstances similaires et que des parties de leur corps ont été utilisées pour un rituel lucratif», a expliqué Oyeyemi.
Selon lui, les suspects ont également informé la police qu’ils avaient des noms de code pour chaque partie humaine chaque fois qu’ils voulaient le demander à leur boucher.
«Par exemple, ils appelaient normalement la tête humaine une boule, le cœur un transformateur, tandis que les mains portaient le nom de code de ventilateurs. Le pistolet et le coutelas qu’ils ont utilisés pour l’acte ignoble ont été récupérés », a-t-il déclaré.
Oyeyemi a ajouté que le commissaire de police, CP Lanre Bankole, qui a décrit l’incident comme le comble de l’inhumanité de l’homme envers l’homme, a ordonné que les suspects soient transférés à la section des homicides du Département des enquêtes criminelles et des renseignements de l’État, pour une enquête discrète avec le en vue de les poursuivre en justice dans les plus brefs délais.
Ce texte est traduit par la rédaction en Anglais, toutes nos excuses pour des imperfections
Togotimes, L’informations en temps réel