Ceux qui connaissent bien Patrice Talon vous diront qu’il est un homme de principe, doublé d’une générosité sans limite. Les témoignages affluent de toute part pour dire que sans lui, l’ancien Président Boni Yayi n’aurait jamais été élu à la tête du Bénin.
C’est bien lui qui, approché, a décidé de mettre une partie de sa fortune à la disposition de la cause présidentielle de l’homme aux cauris, et tous ceux qui sont très proches des deux hommes vous diront que la base de leur divergence n’a rien à voir avec un quelconque empoisonnement, mais plutôt à un deal que le natif de Tchaourou n’a plus voulu respecter.
Une situation qui en son temps avait fait partir de son pays l’actuel locataire de la Marina, pour éviter d’être victime d’un procès politique au cours duquel, il aurait été sûrement condamné, non pas à 10 et 20 ans, comme Joël AÏVO et Reckya MADOUGOU, mais à la perpétuité. Un tel homme qui a constamment bénéficié de la main invisible divine, ne peut donc vouloir du mal à aucun de ses compatriotes dont il a la charge de veiller sur la vie.
Ce qui s’est passé à la Criet, n’est que le résultat d’une lutte politique déjà entamée par certains politiciens à l’esprit machiavélique, pour “l’après TALON, en 2026.” Ils veulent ainsi noircir le bilan “extraordinaire” du natif de Ouidah, pour l’empêcher de leur imposer son candidat, dont le nom commence déjà par être distillé partout.
Joël AÏVO et Reckya MADOUGOU qu’ils ont voulu politiquement sacrifier, ont décidé de ne pas faire appel de leurs condamnations. Une décision réfléchie qui va certainement permettre au Président Talon de leur accorder sa grâce, afin de montrer aux béninois qu’il reste au dessus de la mêlée.
Par notre point focal permanent, Denis HODONOU
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