Les faits se sont déroulés au Cameroun. La famille du monsieur, le futur époux s’est vu remettre mardi dernier tout ce qui a été déposé comme faisant partie de la dot et qui sont déposés chez l’oncle de la fille samedi d’avance. Lise les faits tels que présentés par nos confrères de CT
Jocelyne T., doctorante de 26 ans, et François M., 35 ans, cadre dans une banque, se voyaient déjà devant M. le maire. Mardi dernier, leur projet a pris un rude coup d’arrêt. Les choses semblaient pourtant bien parties. Après avoir accepté d’épouser François, Jocelyne l’avait présenté à son oncle paternel, habitant du quartier « Espoir», dans la zone industrielle de Bassa (arrondissement de Douala III).
D’après des informations obtenues par CT, c’est cet oncle qui a élevé Jocelyne, dont le père, Jacob T., retraité, vit à Sollè dans le Nkam. Cela dit, l’oncle appelle son frère (aîné) et l’informe de la situation. Ce dernier donne son accord pour la conduite des opérations, et promet de prendre la route pour Douala le moment venu.
Après les formalités, la famille de François verse la dot samedi dernier : boissons, chèvres, porcs, etc. le tout étant évalué à près de 3,5 millions de francs. Ce mardi 11 janvier, Jacob T. débarque. Il se renseigne sur le prétendant : nom, origine, profession, filiation… Et sur ce dernier point survient un imprévu. Ayant appris qui est le père du fiancé, Jacob T. dit qu’il n’y aura plus mariage. Et que la dot va être remboursée. Ce qui est fait le même mardi – à quelques bières près.
A sa fille, Jacob T. raconte qu’il y a 19 ans, Jérémie N., père de François, l’avait traîné au tribunal pour un problème foncier. Procédure qui avait débouché sur sa condamnation à deux ans de prison. Hors de question donc que sa fille aille en mariage dans la famille du sieur Jérémie N. Jocelyne, ébranlée par la tournure que prennent les événements, …Lisez la suite dans la prochaine publication
TGT avec CT
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