La circonstance dans laquelle le rein de l’Ougandaise, célibataire avec 5 enfants est volée reste floue. Ce que la victime se souvenait, c’est que son employeur l’a conduit à l’hôpital afin qu’elle soit vaccinée contre la COVID-19.Et c’est dans l’administration de la dose de Covid-19 qu’elle a perdu connaissance ensuite retrouvée connaissance après un certain temps.
Recrutée en 2019 par Nile Treasure Gate Company,une société basée à Kiwatule, une banlieue de la ville ougandaise, comme femme de ménage pour travailler à Djeddah, en Arabie saoudite, une Ougandaise regagne son pays souffrante mais sans son rein. Pourquoi et comment? Sa famille veut savoir la vérité. Trop tard.
Les faits
L’ougandaise s’appelle Judith Nakintu. Célibataire avec 5 enfants, elle a été recrutée pour aller faire un job en tant que femme de ménage en Arabie Saoudite. Partie d’Ouganda, elle arrive à Djeddah le 12 décembre 2019. Ce, deux mois après son départ et la mauvaise nouvelle arrive à la famille comme quoi, qu’elle était impliquée dans un accident, mais aucun autre détail n’a été donné. Si jusque-là, son jeune frère arrive à avoir de ses nouvelles, tout allait stopper subitement au point que, le jeune frère n’a plus d’information de Djeddah.
On en est là quand, le 17 mars 2020, la famille a reçu des informations selon lesquelles elle était dans un état critique. Ils ont essayé de contacter son patron pour lui demander de leur envoyer des photos d’elle, mais il les aurait bloqués. C’est le 30 Octobre 2021, que la famille a reçu un appel de la Nile Treasure Gate Company indiquant que Nakintu atterrirait à l’aéroport international d’Entebbe.
« À son arrivée en Ouganda, elle a été emmenée à l’hôpital national de référence de Mulago pour un examen médical. C’est à Mulago qu’ils ont appris qu’elle avait subi une « opération chirurgicale mystérieuse » à Djeddah et que son rein droit avait disparu », a rapporté nos confrères de Afrikmag.
« Kadichi a déclaré que lorsqu’ils l’ont rencontrée, son côté gauche était paralysé et qu’elle ne pouvait pas bien parler, bien qu’elle les ait reconnus. Il a en outre été allégué qu’il existe des lettres médicales de Djeddah expliquant son état et qu’elles sont contradictoires.
Dans une interview, Nakintu a déclaré qu’elle avait été emmenée à l’hôpital par son patron qui a affirmé qu’elle devait se faire vacciner contre la COVID-19. Elle y a été injectée et a perdu connaissance qu’elle a ensuite retrouvée après un certain temps. La mère célibataire dit qu’elle ne savait pas ce qui lui était arrivé, mais elle a remarqué qu’elle avait des cicatrices inexpliquées sur elle », nous apprend nos confrères cités ci-dessus
TGT avec Am
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