Les autorités togolaises sont interpellées dans une affaire d’injustice criante de la part de la justice Suisse contre un citoyen de ce pays. La Suisse, un état considéré comme exemplaire dans le respect des droits humains, piétine allègrement les droits humains surtout les droits de la race noire. Plusieurs africains continuent de subir des brimades sans que, la justice Suisse ne lève son petit doigt. Le cas d’un togolais-suisse devant la justice de paix de l’Ouest de Lausannoise en dit long et interpelle les autorités togolaises à vite réagir.
Considérée comme un pays comme un pays neutre, respectant les droits humains sans exception, la justice reste pour la race noire, une angine dans la gorge. Injustice criante, droit de l’homme bafoué allègrement, le droit constitutionnel Suisse mis à l’écart quand il s’agit d’un africain même s’il a raison. Le Principe de l’impartialité et de la violation des droits fondamentaux de la race noire par la quasi-totalité des juges Suisse prend de l’ampleur.
Jusqu’à quand? Telle est l’interrogation que les victimes pour la plupart de la race noire cherche, inlassablement une réponse.
Le cas du togolais-suisse défraie la chronique et donne du fil à retordre à la justice qui au lieu de dire le droit pour être libre, fait de la diversion avec la complicité de la police ,du ministère public et la chambre des curatelles .
De quoi est-il question?
Une histoire de piratage que les juges préfèrent traités en défaveur de la victime.
En effet, le togolais-suisse, marié à une suisse, le couple toujours ensemble, a deux filles. Un père dévoué, intelligent, hostile à l’injustice, nanti d’un diplôme de carrière judiciaire l’année passée, le togolais-suisse prépare cette année, un autre diplôme d’ingénieur en système de communication option : « Électronique et communication » a l’académie de paris
La faute du togolais-suisse, répondant au nom de Anasthase Lokonon, c’est d’oser porter plainte contre la société de téléphonie…pour piratage et défendre ses droits ,conformément a la convention de la CDEH ( cour des droits de l’homme). Une plainte que les juges suisses utilisent contre lui pour finalement le mettre sous curatelle de façon injuste. Comme argument, le curateur, Me Charpie Pierre, qui fait feu de tout bois pour bafouer le droit et paralyse à tort et à travers les requêtes du Togolais Suisse, or ,son devoir est d’assister Anasthase Lokonon, dans le cadre de ses requêtes judiciaires.
Malgré les preuves vivantes ou pertinentes de l’avocat de Lokonon, rien. On en était-là quand le jeudi le 16 mars 2022, la justice de paix de l’Ouest Lausannoise devait statuer sur la demande de la levée de la curatelle formulée par l’avocat du togolais-suisse, Me Jonathan Rutschmann. L’audience avait eu lieu et l’avocat a encore démontré preuves à l’appui, de la nécessité de levée la curatelle pour son client. Selon un collaborateur de votre Journal Togotimes en Suisse, l’audience s’est bien déroulée seulement, le curateur a essayé de maintenir la curatelle et l’avocat qui a déposé le recours pour la levée de la curatelle a démontré au corps judiciaire que, la curatelle n’a plus sa raison d’être parce, celui qu’on dit qu’il n’a pas ses facultés intellectuelles, poursuit ses études dans des grandes universités internationales, s’occupe bien de famille etc, par conséquent, poursuit l’avocat, il n’y a plus raison de maintenir la curatelle.
Et quand la question a été posée à Anasthase Lokonon par la juge s’il voulait qu’on lève la curatelle, le togolais-suisse a été clair: « Oui, a répondu Lokonon et de faire savoir au juge que, la curatelle est instaurée pour la protection des personnes qui ont une démence mentale et qui ont la faculté intellectuelle altérée, or, dit-il, il n’est pas dans ce cas.
« Je m’occupe bien de ma famille, mes filles et d’ailleurs mon médecin traitant l’a reconnu comme quoi, la curatelle n’a pas sa raison d’être », a développé Anasthase Lokonon face au Juge. En tout cas, l’audience s’était bien déroulée et au finish, la juge a estimé qu’elle peut pas rendre un verdict mais qu’elle pourra demander une contre expertise ou convoquer une seconde fois le togolais-suisse avant toute décision. Donc verdict renvoyé à une date ultérieure.
Commentaires
Est-ce que le droit s’applique selon le droit constitutionnel Suisse?
Au regard de la violation du principe de l’impartialité et de la violation des droits fondamentaux de la race noire, par la quasi- totalité des juges Suisse , force est d’admettre et de constater que la règle de droit s’applique uniquement pour la race blanche en Suisse. En revanche, le règle de droit à tous les individus en France s’applique. A titre d’exemple: l’autorité judiciaire peut poursuivre Monsieur Sarkozy (ancien Président de la France) pour un comportement délictuelle.
Dans les paragraphes qui vont suivre, nous allons illustrer notre enquête par des exemples concrets.
L’impartialité́́
L’impartialité du juge garantit le droit à un procès tel que prévu par l’article 6 al.1 de la convention européenne des droits de l’homme (CEDH).
A cet égard, le juge doit ainsi s’abstenir de tout favoritisme, il ne doit avantager aucun des plaideurs et ne doit jamais statuer au profit de l’un d’eux pour d’autres raisons que celles qui tiennent au bien-fondé́́ de ses prétentions. Autrement dit, un juge impartial est un juge qui fait preuve de neutralité́́ , gage d’objectivité́́ , de neutralité gage de sa crédibilité. Il doit à ce titre, examiner avec la même attention les éléments favorables ou défavorables à chacune des parties. Dans le cas contraire, la décision du juge est perçue comme arbitraire.
En l’occurrence, par décision de l’office régional de placement de Prilly le 15 février 2019, l’assuré de race noire a été sanctionné (Lokonon Anasthase) pour un rendez-vous manqué.
La décision a été contestée par l’assuré (Anasthase Lokonon). Sans attendre la décision de l’instance supérieure, l’autorité inférieure désinscrive l’assuré de l’office de placement pour avoir contesté leur décision avec l’aide d’une autre administration ( CSR).
Or, la règle de droit permet à l’assuré de contester toute les décisions avec lesquelles il n’est pas d’accord. Nonobstant , la désinscription de l’assuré, il a eu gain de cause. En revanche, l’administration à maintenu toujours la désinscription de l’assuré.
Preuve: décision rendue le 21 avril 2019 par l’unité juridique de l’état de Vaud
Les faits ont été dénoncés par les autorités judiciaires( le ministère public de Lausanne, le tribunal de l’arrondissement de Lausanne) mais le requérant a été débouté. Par voie de conséquence, la règle de droit ne s’applique pas pour les noirs.
2em cas
Dans le cadre d’une affaire de piratage, la police judiciaire chargée de mener les investigations, prend contact avec le plaignant (Anasthase Lokonon ) pour lui annoncer que: vous avez été piraté 15 fois. En revanche, les responsables du piratage ne seront pas poursuivis.
Or, l’article 143bis alinéa 1 du code pénal Suisse sanctionne toutes les intrusions informatique sans consentement.
Preuve: courrier adressé au ministère public de Lausanne depuis 2020
Le plaignant est resté sans nouvelles du ministère public
3em cas
Le Juge Chappuis Pascale était sous le coup d’une enquête judiciaire , pourtant elle a pu prononcer une décision de curatelle a l’encontre d’Anasthase Lokonon.
Un état de droit devrait annuler immédiatement cette décision et sanctionner le juge en question. Pourtant, Anasthase Lokonon est toujours sous la curatelle.
L’agissement des autorités judiciaires suisse nous poussent à saisir les instances judicaires togolaises afin que les juges togolais puissent se prononcer sur le maintien de la curatelle de notre compatriote !!!!!
Quoi qu’il en soit, l’état suisse a coupé tous les aides financières de notre compatriote. Partant, togotimes invite, le tribunal de grande instance du Togo a se saisir du cas de notre compatriote afin qu’il retrouve toutes les prérogatives de ses droits civiles civils, comme le code civil togolais le stipule.
4 em cas
Un nigérian a été assassiné en pleine rue le 1er mars 2018 par la police, lors d’un contrôle banal a la gare de Lausanne. Finalement, il à été assassiné comme FLOYD l’américain. Les auteurs de cet assassinant circulent librement en ville, il est temps de relever les agissements des autorités judiciaires de la Suisse.
Enfin, dans le prolongement de notre démonstration au sujet de l’application de la règle de droit Suisse nous tenons a vous raconter cette histoire :
Une enquête est ouverte contre le curateur de notre compatriote par le ministère public central. L’enquête pénale est dirigée par le premier procureur de Lausanne.
Or, notre compatriote (Anasthase Lokonon à déposer 3 plaintes pénales a l’état de Genève le même jour.
L’une des plaintes est dirigé a l’encontre de monsieur le Premier procureur Deneriaz de Lausanne pour entrave a l’action de la justice.
À ce jour , sachant bien qu’une plainte est déposée contre le premier : procureur Bernard deneriaz , il a demandé au ministère public de Genève de s’occuper de toutes les plaintes ( les 3 plaintes) déposées le même jour.
En effet, selon le code de procédure pénal Suisse ,sachant bien qu’une plainte pénale est dirigée contre lui, il devrait se récuser .
Au regard de toutes ces pratiques , on peut se demander si la Suisse respecte le droit de la race noire.? Quoi qu’il en soit, nous apporteront d’autres informations , liées au dysfonctionnement du système judiciaire Suisse.
TGT
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