Téléguidée par certains chefs d’État de la Cédeao et un pays Occidental, une partie de l’opposition malienne, notamment une trentaine sur plus de deux cents partis politiques que compte le Mali, veut semer le trouble faite en servant de béquille pour les ennemis de la libération du peuple malien, en vue de déstabiliser la dynamique en cours dans la mise en œuvre de la transition. L’opposition malienne a trouvé un bouc émissaire, juste pour pêcher dans une rivière sans poisson, en navigant sur des faits tirés sur le cheveux.
En effet, en réclamant la démission du Premier ministre Choguel Maïga, cette partie minoritaire de l’opinion malienne montre à suffisance qu’elle est en mission commandée pour briser la dynamique en cours au niveau de la mise en œuvre de la feuille de route de la transition
Dynamique saluée par la CÉDEAO
Une dynamique pourtant saluée par la CEDEAO à travers son médiateur. Rien donc ne saurait et peut justifier cette démarche honteuse qui ne se repose en réalité sur aucune base sérieuse.
Si ce n’est le fait d’être téléguidé de l’extérieur et la volonté manifeste de rendre des comptes au Premier ministre pour le fait que, le chef de l’État a décidé de choisir Choguel Maïga pour l’aider dans sa lourde mission de libération total du peuple malien plutôt qu’eux.
C’est cette haine viscérale ajoutée à leurs intérêts personnels et mesquin qui guident cette démarche éhontée d’une opposition en manque de repérage face à la dynamique impulsée par le président Goïta et son premier ministre, homme de confiance, Choguel Kokala Maïga.
L’objectif réel de cette partie de l’opposition malienne en demandant la démission du premier ministre, est la déstabilisation pure et simple de la transition. Car en effet, faire partir le premier ministre, c’est priver le Coli Assimi-Goïta d’un pion essentiel dans la réussite de sa mission de libération du peuple malien du joug impérialiste et néocolonialiste. Bref fragiliser la transition. Puisque quoiqu’on dise, le franc-parler du chef du gouvernement a été déterminant dans le bras-de-fer ayant opposé le Mail à la CEDEAO ainsi qu’à la France. Choguel Kokala Maïga est un homme de vérité, sans langue de bois qui a permis au peuple africain de comprendre les dessous et les enjeux qui se jouent dans la crise malienne.
Duo inébranlable
Il n’est pas un secret pour personne que la transition au Mali reste debout, grâce à la vigilance, à la ténacité et la clairvoyance d’un Premier ministre lucide et déterminé aux côtés du président Goïta.
La levée de boucliers de cette partie congrue de l’opposition minoritaire malienne contre le Premier ministre Choguel ne vient pas de l’opinion, mais du complot ourdi pour saboter le processus, une initiative préparée et orchestrée par certains dirigeants de l’espace sous régional avec la complicité d’un pays occidental connu de tous les africains éclairés. Une frange de la classe politique dont la côte de popularité ne se limite que dans le pré carré de leur siège, veut la tête du premier ministre pour la seule raison que, Choguel Maïga avait exhorté
ses partisans lors d’une rencontre à resserrer les rangs pour gagner les futures élections municipales, législatives et présidentielle. Où est alors le mal du PM à parlé ainsi? La question est de savoir si le Mali ne se prépare pas pour aller aux élections. Pourquoi denier à un chef de parti la volonté de gagner des élections ? En réalité, la volonté de cette opposition est ailleurs
Tapage inutile
Au Mali, ce n’est pas une surprise ce tapage inutile de quelques formations politiques qui veulent troubler et semer du doute au sein de la population mais ce n’est que peine perdue car la population malienne n’est plus naïve. Elle sait lire entre les ligne et croit fermement en la capacité du duo Goita- Choguel pour la mener à bon port. L’opposition a qui s’agite a échoué depuis longtemps.
» Le temps des compétitions électorales viendra. Les seuls combats qui vaillent aujourd’hui sont ceux de l’unité et le consensus », écrit un des partis politiques désormais ouvertement opposé au chef du gouvernement. En analysant bien cette phrase, il est clair que, les opposants n’ont pas d’arguments solides à faire valoir contre le Premier ministre. Choguel Maïga a-t-il dit le contraire au sujet de l’unité et le consensus? Plutôt c’est partie de l’opposition qui est contre le rassemblement et l’unité en soutenant ceux qui veulent la division du Mali.
De son côté, pour justifier la demande de démission de Choguel Maïga, l’Adéma, affirme que *« le Premier ministre malien n’est plus crédible »* et qu’il n’est plus l’interlocuteur idéal pour la suite du processus *« d’une transition de rassemblement et de paix sociale »*. Avec quoi mesure-t-on aujourd’hui la crédibilité de Choguel Maïga?
Malheureusement, aucun des 30 Partis n’est incapable de dire avec preuves à l’appui, les faits qu’ils reprochent au premier ministre. Ils confirment sur toutes les lignes, le fait leur démarche est téléguidée depuis des officines extérieurs et étrangères qui faut-il le rappeler, avaient promis de financer les partis politiques et la société civile qui travailleront à mettre fin au régimes de transition.
TGT
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