L’ex ministre togolais, actuellement commissaire à l’agriculture, aux ressources en eau et à l’environnement de l’Union économique et monétaire ouest-africaine (Uemoa) apporte une solution pour l’Afrique. C’est dans un nouvel essai qui sera publié en Octobre prochain. L’ouvrage est intitulé » Une solution pour l’Afrique : du néoprotectionnisme aux biens communs », aux éditions Odile Jacob, à Paris.
Dans son nouvel essai, le togolais prône le « néoprotectionnisme » et « le juste échange ». Il prend alors le contrepied de la « néo-mondialisation », portée depuis quelques mois par des économistes de Bretton Woods et « défend le recours à un protectionnisme écologique qui se traduirait, par exemple, par la mise en place de barrières à vocation écologique aux frontières des économies africaines afin de privilégier des circuits courts. Ce qui inciterait à davantage d’investissements dans la transformation locale des ressources naturelles africaines et préserverait, selon lui, le continent des prédations de toutes sortes », lit-on dans les colonnes de JA.
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