Le gouvernement togolais reconnue pour sa promotion des droits des femmes dans tous les secteurs comme à l’accoutumé était aux côtés de cette association par l’entremise de Mme la Ministre de l’Action sociale, Mme Adjovi Lolonyo Apédoh-Anakoma pour cette célébration en anticipée le 7 mars 2023.
Pour Mme le Ministre, sous l’égide du président Faure Gnassingbé, les actions du gouvernement sont en harmonie avec le thème de cette année, «Pour un monde digital inclusif: Innovation et technologie pour l’égalité des sexes» met en relief l’égalité des sexes ». C’est à ce thème que se greffent les sous-thèmes retenus par l’Association WIMAFRICA pour contextualiser les conférences et les ateliers de formations programmés.
Au vu des différents efforts en faveur de la femme, il est clair que le gouvernement togolais ne ménage aucun effort quand il s’agit de la promotion des droits de la femme. La preuve en est l’occupation des postes par les femmes à des instances de décisions de l’Etat et au niveau des postes de directions dans des services publics et mêmes privés.

La Représentant-résident de la CEDEAO au Togo, M. Barros Bacar BANJAI était aux côtés du gouvernement pour soutenir les activités de l’association WIMAFRICA. Il a salué le rôle de leadership du président Faure Essozimna GNASSINGBE dans l’espace CEDEAO et les multiples initiatives de paix et d’inclusion des femmes dont il est le moteur dans tous les secteurs d’activités faisant du Togo « aujourd’hui un pays champion de la promotion de la femme, de l’amélioration du rythme d’innovation technologique inclusif répondant ainsi aux exigences du temps ».
Il a ajouté que cette préoccupation du gouvernement togolais « est au centre de la vision 2050 de la CEDEAO qui se veut participative et inclusive impliquant au plan humain les couches défavorisées et au plan spatial, les zones rurales et les villes modernes »
Pour M Barros Bacar BANJAI, « Le Togo se distingue par des modèles de scores de parité entre l’homme et la femme dans le cadre de l’éducation et la formation, le marché concurrentiel du travail, la croissance de l’économie en général et l’économie bleue en particulier ».
Selon lui, se basant sur la classification de l’OIT parue en 2021, « le Togo est le premier pays au monde qui offre une évolution substantielle de la représentation des femmes dans les instances décisionnelles. Il fait partie des pays qui accordent le plus de droits aux femmes dans le monde (84%), et a le plus fort ratio de femmes inventeurs au niveau mondial (2019) ». Il a à juste titre, au nom du président de la Commission de la CEDEAO, exprimé sa gratitude au président Faure Gnassingbé pour ses initiatives en faveur de la promotion de la femme et de son insertion par des formations professionnalisantes et hautement qualifiantes.
Parlant des thèmes choisis dans le cadre de l’atelier notamment « L’autonomisation de la femme et l’inclusion numérique: défis et opportunités en lien avec l’ODD5 », « la contribution des femmes à l’atteinte de l’ODD 14 », M. Barros Bacar BANJAI a fait savoir qu’ils : « sont en adéquation avec la politique pragmatique du Togo en faveur des femmes et la Vision 2050 de la CEDEAO. Une vision qui intègre l’acte additionnel de la CEDEAO sur l’égalité entre l’homme et la femme en plaçant cette égalité et l’autonomisation des femmes au cœur du développement durable et du processus d’intégration régionale ».
Il a fait savoir que, la commémoration de la 38ème édition de la journée internationale des droits des femmes sur le thème «pour un monde digital inclusif: Innovation et technologie pour l’égalité des sexes» met en relief l’égalité des sexes » et l’innovation technologique traduit la préoccupation pour réaliser l’autonomisation de la jeune fille et de la femme.

Il a remercié la présidente continentale de l’association WIMAFRICA, Mme Akuélé Yevona ADANLETE-LAWSON pour l’ingéniosité avec laquelle son équipe a œuvré pour que » l’activité de WIMAFRICA ce jour » soit « en parfaite harmonie avec l’action gouvernementale au double plan des droits des femmes que sont l’inclusion digitale des femmes et leur accès équitable aux opportunités économiques en lien avec l’ODD5 (relatifs à l’égalité entre les sexes, l’autonomisation des femmes) et l’ODD14 (conservation et utilisation des mers, des océans et des ressources maritimes pour le développement durable »
Mises à part les conférences, les ateliers de formation portés sur la digitalisation et les droits des femmes ont permis de renforcer les compétences des femmes qui étaient pour la circonstance la population cible de la commémoration.
Au podium de la commémoration de la journée internationale des droits de la femmes de ce 7 mars 2023 étaient Mme la Ministre de l’Action sociale, Mme Adjovi Lolonyo Apédoh-Anakoma, le Représentant-résident de la CEDEAO au Togo ‘M. Barros Bacar BANJAI, la Présidente continentale de Women in Maritime Africa (WIMAFRICA),Mme Akuélé Yevona ADANLETE-LAWSON, la Représentante du Directeur Général du Port autonome de Lomé Mme PEKPELI-TCHONDA, la représentante des associations des femmes portuaires Maritimes et du transport Mme BILABINA d-ALMEIDA P. Abidé,
Parmi les participants on comptait pour l’essentiel les représentantes pays de WIMAFRICA des pays membres tels que Cote Ivoire, du Benin, du Burkina, du Niger, du Togo, ainsi que d’autres pays d’Afrique comme le Cameroun, et la République Démocratique du Congo.
TGT
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