A travers le monde, ce 03 mai 2023 est célébré comme Journée mondiale de la liberté de presse. Pour cette année 2023, le pays de Faure Gnassingbé a fait un pas très significatif. Dans le classement de Reporter Sans Frontière (RSF), le pays occupe 70e range sur 180. L’on se rappelle qu’en 2022, le Togo occupait le 100e rang….
Trente points gagnés par le Togo en occupant le 70e rang sur 180. Un bond spectaculaire qui est le fruit des réformes que le pays a mené sur divers axes. Le grand mérite revient au président du Togo qui ne ménage aucun effort pour hisser le Togo très haut en matière de Liberté de la presse et bien d’autres domaines du pays. Dans ce classement, l’on peut constater que, le Sénégal de Macky Sall recule de 31 place par rapport à 2022. Sa note à baisse de 8 points
Pour le ministre togolais de la communication et des médias, porte-parole, le Prof Akodah Ayewouadan, « ce progrès illustre l’engagement du président Faure Gnassingbé à faire du Togo un cadre propice au rayonnement de la presse nationale, professionnelle et libre, au service du développement ».
« Conscient des défis à relever, je voudrais saluer ce progrès qui illustre l’engagement du PR à faire du Togo un cadre propice au rayonnement de la presse nationale, professionnelle et libre, au service du #développement. Je salue l’ensemble des acteurs avec qui nous œuvrons pour que le #journalisme libre demeure ce sage compromis entre #liberté et Ainsi, pourrons-nous ensemble façonner un avenir de droits, avec la liberté d’expression comme moteur de tous les autres droits de l’homme », peut-on lire sur le compte Twitter du ministre Ayewouadan
Il faut rappeler que, l’édition 2023 du Classement mondial de la liberté de la presse, évalue les conditions d’exercice du journalisme dans 180 pays et territoires, et publiée à l’occasion de la Journée mondiale de la liberté de la presse, le 3 mai.
Il apparaît que la situation est “très grave” dans 31 pays, “difficile” dans 42 et “problématique” dans 55, alors qu’elle est “bonne” ou “plutôt bonne” dans 52 pays. Autrement dit, les conditions d’exercice du journalisme sont mauvaises dans 7 pays sur 10 et satisfaisantes dans seulement 3 pays sur 10. Dans son rapport, RSF reconnaît que, l’exercice du journalisme est globalement devenu plus difficile sur le continent où la situation est désormais qualifiée de “difficile” dans près de 40 % des pays (contre 33 % en 2022).
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