Malgré la répression, les manifestants sont déterminés à poursuivre le fac à face avec les forces de l’ordre. Constat fait dans certains quartiers ce 20 octobre 2022, on déplore des morts. C’est le cas à Moursal où deux jeunes ripostant au gaz lacrymogène, par des jets de pierres, ont été canardés par les éléments du groupement mobile d’intervention de la police.
Les éléments du groupement mobile ont emporté un corps, mais ont été empêchés par des femmes d’emporter un deuxième. Surplace, les agents de la croix rouge sont venus pour emporter le deuxième corps recouvert du drapeau tricolore par les manifestants.
Ce n’est pas fini. A Habbena une autre localité, à proximité du rond-point du 10 octobre, on aperçoit un autre corps, d’un jeune gisant git dans une nappe de sang. A l’hôpital de l’Union, cinq corps ont été juxtaposés autour de 8 heures du matin. Dans cette avalanche de violence, 8 cas légers sont pris en charge sur place, tandis que 17 sont envoyés aux urgences.
Un policier est décédé ce 20 octobre en milieu de matinée à l’hôpital central de la capitale. Il avait été évacué d’urgence, entouré de plusieurs de ses collègues, et aurait succombé à une blessure par balle.
Son corps a été transféré à la morgue, a constaté Alwihda Info. Les corps d’au moins huit manifestants sont actuellement à la morgue de l’hôpital général de référence nationale qui ne cesse de recevoir des blessés.
Le bilan provisoire s’alourdira certainement, compte tenue de la détermination des manifestants et de la violence exercée sur le terrain.
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Au nom de quoi ,on enlève la vie aux gens.Le gouvernement qui aime son construit une table de négociation et non verser le sang de ses sujets.
Les dirigeants doivent apprendre de leurs erreurs.
Le pays ci a besoin d’amour de ses fils et filles.La France doit laisser ce pays en paix puisqu’elle a tant retardé le développement de ce pays.